Par Sophie-Hélène Trigeaud, Dr. HDR en anthropologie, chercheuse associée au LADEC, Université Lyon 2
Dans ce second billet, l’auteur établit le panorama des motivations qui ont conduit différents acteurs, des femmes pour la plupart, à confectionner des masques en tissu pour contrer la pandémie de covid-19. Si cette confection s’est réalisée sur une base volontaire, sans attente de rémunération, comment qualifier cette action solidaire ? S’agit-il de travail ou de bénévolat ? (Pour la cartographie des faiseurs et surtout des faiseuses de masques, voir le premier billet).